Sur invitation de la revue « Le Festin » pour son édition de juillet 2020, le Pays d’art et d’histoire de Saint-Jean-de-Luz et Ciboure, porté par le Syndicat de la baie, propose un tour d’horizon unique, entre océan et Pyrénées. Autour de 35 sites, le lecteur découvre les richesses du patrimoine luzien et cibourien.
Tout au long de cet article, un circuit est présenté conduisant aux origines des deux paroisses avec les églises Saint-Jean-Baptiste et Saint-Vincent, emblématiques de l’architecture religieuse du Labourd. Esquerrenea, Lohobiague, Joanoenia ou encore San Estebenia, célèbres maisons d’armateurs au profil atypique, ponctuent ce parcours pour narrer le destin maritime de la baie. D’une rive à l’autre, le fort de Socoa, les digues et les feux d’alignement illustrent l’incessant combat des habitants pour défendre leur rivage des assauts militaires autant que naturels. De la plage aux collines boisées, l’impact de la villégiature sur le paysage urbain s’exprime par une large palette d’architecture, des grands hôtels aux villas régionalistes en passant par le complexe de la Pergola. L’article donne également à voir les villes en expansion, avec la gare et les halles, les nouveaux quartiers d’habitations gagnés sur les marécages ou encore l’édification de la criée occupant le cœur du port. Pour clore cette balade patrimoniale, la création architecturale est à l’honneur, des années 1970 avec la construction du quartier Urdazuri, jusqu’à nos jours avec le bâtiment de Quiksilver confié à Patrick Arotcharen ou plus récemment, le quartier Alturan signé par les cabinets Leibar & Seigneurin et Baggio-Piéchaud.
La revue « Le Festin » est à retrouver à l’espace presse au 3ème étage de la médiathèque de Saint-Jean-de-Luz.